Notre Définition du Développement Durable
Le développement durable (ou “sustainable development” en anglais) a été défini en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement. Voici une des définitions présentée en plusieurs points…
Lire la suiteGoogle rachète Makani Power, spécialiste des éoliennes aéroportées
La petite société américaine vient d’être rachetée par le géant Google de l’Internet, qui démontre une fois encore son intérêt pour le développement des énergies renouvelables. Une acquisition de plus pour Google, désormais sur de nombreux créneaux bien éloignés de son moteur de recherche et autre référencement google ! Le montant de l’acquisition n’a pas encore été fourni.
Lire la suitePréparation de la 3ème période des certificats d’économies d’énergie
À l’occasion de l’inauguration du Salon des énergies renouvelables à Lyon, Delphine BATHO, Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, a annoncé le lancement de la phase préparatoire à la 3ème période des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE).
Lire la suiteParis innove avec un prix participatif du développement durable
Il y a deux ans, Paris avait lancé les acteurs du Paris Durable. La Mairie passe à la vitesse supérieure. Les cibles sont multiples : les particuliers mais aussi les associations collectives, les copropriétés ou encore les entreprises.
Pour Gaël Rougeux, responsable de la division “mobilisation du territoire” à la mairie de Paris, à travers cette initiative, les collectivités s’offrent un nouveau rôle. Jusqu’à présent, un Parisien venait à la Mairie pour demander à développer son initiative. Par exemple mettre en place un composteur. Désormais la Ville se veut catalyseur. Rien de plus efficace que des citoyens qui se mettent en réseau.
Pas question de remettre un énième prix du développement durable. La Mairie de Paris veut créer l’émulation et donner l’envie de participer à une entreprise commune. Ce sont donc dix pionniers qui seront mis en avant tout prochainement. Toutes les initiatives sont les bienvenues: un service de livraisons de plats bio, une braderie green entre voisins, du recyclage dans son entreprise et même des initiatives de télé-travail. Tout ce qui permet de faire bouger la ville.
Accompagnement sur deux mois
C’est à la fin du mois que les dix initiatives les plus séduisantes seront retenues par un jury. Au mois de mai, les Parisiens pourront les découvrir. Et même “liker”. Sans oublier une cérémonie fin juin. Ces lauréats ne resteront pas dans l’anonymat puisque ils seront exposés aux feux des médias pendant deux mois. Et bénéficieront d’un accompagnement dans le même temps. Networking, communication, recherche de financement rien ne sera laissé au hasard à travers des formations sur-mesure. De quoi développer leur projet.
Vous avez jusqu’au 22 avril pour vous manifester. Et devenir un pionnier.
Déjà une quarantaine de candidats se sont manifestés. Un message personnel aux entreprises : n’hésitez pas à vous présenter. C’est aussi le tissu économique local qui fait bouger les lignes.
Si vous êtes tenté, rendez-vous vite sur ces sites :
L’Automobile est-elle prête à passer au vert ?
Alors que les experts de l’IPCC prévoient une montée globale du niveau des eaux plus rapide que prévu ; les constructeurs automobiles se mettent au pas afin de satisfaire les foules de plus en plus accros à l’énergie verte, notamment via l’hybride et l’électrique. Où en sont des ventes de voitures électriques et hybrides dans le monde ? Comment s’en sortent les constructeurs français alors que les chiffres d’immatriculation de véhicules en France sont en forte baisse. Quelles sont les solutions alternatives ?
Lire la suiteUnilever va t-elle sombrer dans le Green washing ?
Initiée en 2011, la collaboration entre Rainforest Alliance et Magnum s’appuie sur un programme dans lequel ce dernier s’est engagé d’ici à fin 2015, au niveau mondial, à être la première marque de glaces à s’approvisionner à 100 % de fèves de cacao issues exclusivement de fermes vérifiées Rainforest Alliance. Alors Green washing ou véritable programme ? Explications dans cet article…
Lire la suiteBilan de la conférence de Durban en demi-teinte
Les représentants des 195 pays participant à la 17ème conférence des Nations unies sur le changement climatique (CNUCC) à Durban (Afrique du Sud), ont adopté, le 11 décembre 2011, à l’unanimité, des décisions pour renforcer le régime multilatéral de lutte contre le réchauffement climatique. Quelles avancées ? Explications dans cet article…
Lire la suiteFonds de partage : définition et objectifs
Ici les notions d’économie solidaire ou de valeurs éthiques ne sont pas les objectifs que poursuivent les fonds de partage. Le plus souvent ils sont investis sur les marchés obligataires ou monétaires classiques. La notion de partage implique juste que l’investisseur renonce à une partie du rendement engendré par ces fonds au profit de projets d’insertion ou de lutte contre l’exclusion.
Ces fonds sont donc généralement peu risqués (monétaire ou marché de taux), mais n’ont pas vocation à être rentables (à contrario des fonds éthiques), car une partie du rendement est redistribué.
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L’argument écologique, la nouvelle voie du marketing vert
Dans ce contexte pour le moins trouble, où certaines entreprises parent de vert leurs activités et s’autoproclament “responsables” sans qu’il soit jamais possible de vérifier quoi que ce soit ; quelle stratégie doivent adopter les marques et les annonceurs pour faire valoir leurs réelles avancées écologiques auprès des consommateurs ? Quels sont les défis du marketing vert dans une stratégie de communication responsable ? La voie est pour le moins étroite et semée d’embûches.
Qu’est-ce que le marketing écologique ?
Le marketing écologique permet de vanter dans une publicité ou sur un emballage les caractéristiques écologiques d’un produit ou service, ou ses avantages pour la protection de l’environnement. Du fait de l’engouement actuel pour des produits plus respectueux de l’environnement, cela permet d’une part, d’orienter le consommateur dans ses choix, et d’autre part, cela pousse les entreprises à innover pour modifier leur offre.
Or, depuis quelques années, de plus en plus de produits et services sont présentés comme “écologiques“, “protégeant la nature” ou “protégeant l’environnement”, alors que l’intérêt du produit ou du service pour la nature est minime, voire inexistant. C’est d’autant plus critiquable que l’argument écologique est très utilisé pour les produits et par les entreprises les plus polluants : voitures, produits chimiques, sociétés pétrolières…
On retrouve aussi la création de logos propres à chaque entreprise, sans aucune réglementation :
Cela s’appelle faire du blanchiment écologique ou de la “désinformation verte” en donnant une aura écologique à des entreprises et à des produits qui ne le sont pas forcément.
Quelles impacts environnementaux de cette stratégie de communication ?
Instaurer le doute et la confusion dans l’esprit du consommateur sur ce qui est vraiment écologique et sur ce qui ne l’est pas. Augmenter les ventes est-il une fin en soi alors que les émissions de co2 sont en très forte hausse ? Il est devenu aujourd’hui impératif de changer notre façon de consommer, ainsi que le comportement des entreprises pour tendre vers plus de développement durable.
Le blanchiment écologique a donc pour effet de contrer les efforts de sensibilisation faits en ce sens par les associations.
Le contre coup de cette « Vert’attitude »
Produits responsabless, organiques, écolos, bios ou verts… L’industrie agroalimentaire et cosmétiques surnomment leurs produits, les teintent en vert, les logoïsent. Mais les consommateurs ne sont pas dupes. Ils deviennent même allergiques à ces produits aux prétentions écologiques
Il y a eu un effet Al Gore. L’effet inverse aussi. L’ex-candidat à la présidence américaine a reçu le prix Nobel de la paix pour sa campagne en faveur de la lutte contre le réchauffement planétaire. Il a réussi, plus que quiconque, à attirer l’attention du public sur cette cause environnementale. Mais l’effet Al Gore a aussi son effet boomerang.
Le «green marketing» est un tsunami. Toutes les industries, tous les produits qui ont pris une teinte verte ont donné le vertige au public devenu alors sceptique devant toute prétention écologique, même lorsqu’elle est justifiée. Sommes nous prêts à payer l’addition finale ?
Au lieu de servir la cause écologique, la vague verte a créé de la suspicion.
Les labels envahissent nos produits, privés, officiels, pour la qualité … Aurions-nous besoin d’un label universel : un label gouvernemental, officiel, qui identifie les produits réellement écologiques ? Peu importe. De plus en plus de consommateurs décrochent de la mode verte. En bien ou en mal, ils ne croient tout simplement plus à cet écologisme industriel, de consommation de masse et de façade.
C’est ce à quoi essayent de répondre les labels officiels.
Les aides pour la rénovation énergétique des logements en 2010
MISE À JOUR : consultez les aides fiscales pour les pompes à chaleur en 2019 (plan énergétique 2020 -2023)
- Maintenir la TVA à 5,5% pour les équipements de chaleur renouvelable éligibles au CITE, et les travaux liés (exemple : conduit d’évacuation des fumées, silo à granulés)
- Les pompes à chaleur bénéficient du crédit d’impôt transition énergétique dont le taux est de 30 % depuis 2015 . Vous pouvez tester votre éligibilité dans le dossier “rubrique nos conseils”.
Deux autres mesures importantes concernes les PAC Géo et Aéothermiques, pour tout savoir des aides fiscales, consultez notre dossier sur les aides fiscales aux particuliers PPE 2019.
Aides fiscales pour les énergies renouvellables